veille sur les analyses des exerciseurs par les didacticiens (contact avec Fabrice Vandebrouck)
Livre La classe de mathématiques : activité des élèves et pratiques des enseignants, 2008, Octarès, qui comprend une partie :
« l’activité des élèves sur les bases d’exercices en ligne »
et dans une autre partie un article :
« une base d’exercices en ligne dans la classe : l’analyse de l’activité des enseignants »
page0.jpgpage202.jpgpage203.jpg
résumé de ces articles( à faire... )
- article BASES D’EXERCICES DE MATHÉMATIQUES EN LIGNE ET PHÉNOMENES D’ENSEIGNEMENT-APPRENTISSAGE de Vandebrouck (reperes-irem n°62, 2006)
repere-irem-62_article_vandenbrouck.pdf
actes de la conférence EIAH2013 (369 pages, beaucoup de choses éloignées de notre sujet...) https://www.irit.fr/EIAH2013/uploads/ActesEIAH2013.pdf
deux articles extraits : "ALOES, un EIAH pour l’opérationnalisation de l’enseignement dans le supérieur" EIAH 2013 aloes.pdf
et "Un outil auteur pour une génération semi-automatique d’exercices d’auto-évaluation" EIAH 2013 gen exos auto eval.pdf
article sur mathematice "Les outils Pépite sur LaboMeP, Identifier des besoins d’apprentissage des élèves pour réguler l’enseignement" http://revue.sesamath.net/spip.php?article557
Petite liste d’éléments théoriques qui pourraient être pertinents pour notre analyse des exerciseurs :
- Yves Schwartz (philosophe qui a réfléchi notamment à partir des apports de l’ergonomie, et qui a créé l’ « ergologie » : un mouvement pluridisciplinaire d’analyse de l’activité humaine)
- trouver une référence précise
- « pour pouvoir agir, la voie n’est jamais toute tracée »
- il y a un écart prescrit / réel et quel que soit le soin avec lequel le prescrit est fait, il n’est jamais suivi à la lettre dans l’activité réelle
- du coup, il est impossible pour un développeur d’exercice de prévoir totalement quelle sera l’activité des étudiants lorsqu’ils feront l’exercice
- il est également impossible d’anticiper totalement les erreurs qui seront faites
- il est enfin impossible d’être totalement certain que le feedback détectant tel type d’erreur fonctionnera correctement
MAIS :
- toutes ces critiques ne sont pas une raison pour abandonner les exercices informatisés
- thèse à défendre : il est important de favoriser dans le dispositif que l’élève / étudiant ait du recul sur son activité
- dans le dispositif de Jean-Marc par exemple, la pédagogie active utilisée en présentiel permet de donner un maximum de sens aux notions, ce qui ensuite favorisera une logique d’apprentissage sur les exercices informatisés
- dans le dispositif wims de Paul les éléments suivants peuvent favoriser cette même logique d’apprentissage :
le fait que c’est à l’élève de déclencher la notation (auto-évaluation)
le plan de travail qui rappelle que l’enjeu n’est pas le score wims, mais la réussite à l’évaluation papier qui suivra
le fait que l’évaluation réellement comptabilisée est faite sur papier et pas sur wims
le fait que les élèves peuvent demander une explication en classe avec vidéo-projecteur pour les DM, charge à eux d’appliquer correctement la méthode chez eux par la suite...